L’enseignant choisira deux volontaires. L’un d’eux écrira sur un papier la tâche ménagère qu’il déteste le plus et précisera pour quelles raisons. Le deuxième volontaire lira ce papier en disant exactement l’inverse de ce qui est écrit.
Par exemple: L’élève a écrit que la corvée ménagère qu’il déteste le plus est : laver la vaisselle parce que:
- – il n’aime pas le contact de l’éponge humide sur ses mains
- – il ne supporte pas la saleté qui se dépose dans l’évier
- – le bruit de la vaisselle l’insupporte
L’autre volontaire dira : il aime beaucoup laver la vaisselle parce que:
- – le contact avec l’éponge humide lui est agréable.
- – il aime nettoyer l’évier des résidus de saleté.
- – il aime entendre le tintement de la vaisselle.
L’enseignant racontera aux élèves que le gouvernement de l’Union soviétique a transmis au monde entier que les Juifs y étaient très bien installés et qu’ils n’envisageaient pas d’immigrer en Israël. La taille et la force du gouvernement était si imposante que la voix des Juifs s’y noyait. Les Juifs de l’Union soviétique voulaient absolument monter en Eretz Israël. Ils ont essayé de différentes manières et à plusieurs reprises de communiquer leur détresse et ont même entrepris des actions à plusieurs niveaux.
L’enseignant posera trois panneaux au sol avec les titres suivants:
- La lettre des 18 familles
- L’opération mariage
- La lutte d’Avital Sharansky
On distribuera aux élèves des cartes sur lesquelles des faits sont racontés, ils devront faire correspondre le fait à l’un des trois titres proposés. L’enseignant les aidera à relier les faits au titre correspondant puis donnera la lecture de l’histoire de chacun des événements à 3 volontaires.
L’enseignant conclura ainsi : Les prisonniers de Sion ont parcouru un très long chemin, depuis l’oppression de l’autorité qu’ils ont subie et à
travers leur longue et intransigeante lutte pour monter en Eretz Israël jusqu’à leur réel victoire.
Il est important de souligner que dans cette partie, nous nous sommes concentrés sur la lutte la plus célèbre des prisonniers de Sion en Union soviétique uniquement, mais on pouvait trouver des prisonniers de Sion dans beaucoup d’autres endroits dans le monde.
C’est le sujet que nous allons développer dans la partie suivante.